Aviation en Afrique : Ethiopian Airlines s’apprête à recevoir son premier Airbus A350-1000
Aviation en Afrique : Ethiopian Airlines s’apprête à recevoir son premier Airbus A350-1000
Ethiopian Airlines, pionnière du transport aérien en Afrique, marquera un tournant historique en devenant la première compagnie africaine à intégrer un Airbus A350-1000 dans sa flotte. La livraison est prévue pour novembre 2024, consolidant ainsi une commande de quatre unités officialisée en juillet 2022. Cet appareil, capable de transporter jusqu’à 480 passagers, vient soutenir une flotte en plein essor au service d’une stratégie de croissance ambitieuse.
Des destinations stratégiques pour une flotte modernisée
Avec l’arrivée de cet Airbus A350-1000, Ethiopian Airlines entend renforcer son positionnement sur plusieurs liaisons stratégiques. Parmi les premières destinations de cet appareil figurent des métropoles clés comme Londres, Accra, Lagos et Washington. La route vers Washington inclura une escale à Rome, répondant ainsi aux besoins d’un marché en pleine expansion tout en offrant plus de confort aux passagers.
Une croissance continue et une expansion ambitieuse
L’ajout de cet avion de nouvelle génération s’inscrit dans le cadre d’un projet de développement ambitieux. Ethiopian Airlines vise à faire passer sa flotte à 270 appareils d’ici 2035 et prévoit également d’élargir son réseau à 207 destinations internationales. Parmi les dernières initiatives de la compagnie, on note l’ouverture de nouvelles lignes comme Port-Soudan et la reprise des vols vers Monrovia à compter du 30 novembre 2024, en plus de cinq nouvelles destinations à venir l’an prochain.
Innover pour maintenir sa compétitivité
En investissant dans des avions de dernière génération, Ethiopian Airlines se positionne comme un acteur incontournable du secteur aérien africain. L’objectif est de répondre efficacement à la demande croissante sur les liaisons long-courrier, tout en attirant une clientèle diversifiée. Grâce à ces efforts, Ethiopian Airlines vise non seulement à connecter l’Afrique au reste du monde, mais aussi à renforcer l’accessibilité du continent.